mai-juin 2016 - n°47
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n°47 - mai-juin 2016
Nanterre, centre ancien, du 3 au 5 juin.
Le guide culturel des Hauts-de-Seine
www. hau t s - de - s e i ne . f r
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guide
Avec ses parenthèses ouvertes sur un pluriel bienvenu,
Parade(s)
est un festival
qui ne joue pas le tapis rouge. Pendant le premier week-end de juin et cela
depuis 1990, les arts de la rue y descendent se frotter aux spectateurs
en liberté. Du cirque à ciel ouvert, du théâtre sans rideau, de la danse sur
le pavé et de la musique avant toute chose : une quarantaine de compagnies
invitées, avec la participation de plus de quatre cents amateurs, transforment
le centre-ville ancien de Nanterre en une sorte de kermesse infinie qui ne
vend rien d’autre que de l’émerveillement. Et des bouffées d’ailleurs. Depuis
six ans,
Parade(s)
est partenaire du collectif burkinabé Acmur – entendez
« assez de murs » – et invite des compagnies d’Afrique de l’Ouest. Ainsi
Le Cabaret de l’intégrité
, d’Évelyne Fagnen, commence ici sa tournée estivale.
Le Japon vient à Nanterre qui lui rendra la pareille. On parle de neuf créations
et d’une coproduction et on attend 40 000 spectateurs durant les trois jours.
Parade(s), c’est déjà le début de l’été.
n
Dans ce petit monde de drôles
d’oiseaux,
white is white
jusqu’à
ce qu’apparaisse le premier œuf
rouge, puis un jaune, un bleu…
White
, spect acle joyeux
de la compagnie écossaise
Catherine Wheel
– en anglais,
un dispositif de feux d’artifice –
est à destination des tout-petits
(à partir de 2 ans). Il s’arrête
à Châtenay après être passé par les États-Unis et le Mexique,
avec le même succès :
a must-see
! Sans bavardage, il parle à toute
la famille et constitue une occasion parfaite d’emmener les bambins
à leur premier spectacle. Leurs rires sont irrésistibles.
n
Châtenay-Malabry, La Piscine, du 11 au 13 mai.
La compagnie L.A. Dance Project a été
fondée à Los Angeles par le danseur
et chorégraphe français Benjamin
Millepied, Américain d’adoption après
des années passées au New York City
Ballet. Au programme de la tournée,
des variations abstraites ou déchirantes
sur le couple :
Reflections
de Millepied
lui-même,
Quintett
de William Forsythe.
Au-delà de tout ce qui a été dit, demeure
uneévidence : lacompagniedeBenjamin
Millepied trouve l’équilibre entre
le classique et la recherche, une certaine tradition du ballet et la quête
d’un ailleurs nourri d’improvisation et de liberté.
n
Puteaux, Salle Gramont, 26 mai.
Danse
Un Américain à Puteaux
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Théâtre
Musique
Danse
Expos
Jeunesse
Cirque
Festival
Tous dans la rue
Jeunesse
Leur premier théâtre
© L
aurent
P
hillippe
© J
assy
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P
hotography