mai-juin 2013 - n°29
        
        
          |
        
        
          HDS.
        
        
          mag
        
        
          |
        
        
          
        
        
          c o l l ège s
        
        
          c’est le montant en euros
        
        
          de la subvention accordée
        
        
          par le conseil général à chaque
        
        
          collège participant
        
        
          c’est le nombre de collèges du
        
        
          département abritant
        
        
          en leur sein
        
        
          unemini-entreprise
        
        
          chaquemini-entreprise
        
        
          bénéficie de l’aide
        
        
          d’un parrain issu dumonde
        
        
          de l’entreprise
        
        
          le montant maximun
        
        
          des actions remboursables
        
        
          dans le cadre d’une
        
        
          mini-entreprise
        
        
          1 000
        
        
          11
        
        
          (Parrain)
        
        
          500 €
        
        
          JEUDI
        
        
          JEUDI
        
        
          JEUDI
        
        
          JEUDI
        
        
          JEUDI
        
        
          JEUDI
        
        
          lors de marchés, d’événements au
        
        
          collège et grâce aux bons de com-
        
        
          mande sur internet, alors que le
        
        
          seuil de rentabilité s’élevait à 616.
        
        
          Les jeunes Colombiens ont décidé
        
        
          de reverser un tiers de leurs béné-
        
        
          fices à l’Unicef. 10 % de ceux des
        
        
          Nanterriens iront à l’association
        
        
          Le Rire Médecin en faveur des
        
        
          enfants hospitalisés.
        
        
          Une aide à l’orientation
        
        
          À Lakanal, l’autonomie est la
        
        
          norme. Devant les ordinateurs, les
        
        
          deux garçons du service adminis-
        
        
          tratif s’occupent des fiches de paie
        
        
          et des contrats de travail pendant
        
        
          que les filles des services marke-
        
        
          ting et commercial préparent la
        
        
          prochaine vente. Julia, la P-DG, et
        
        
          les professeurs convoquent une
        
        
          réunion.
        
        
          
            « En tant que P-DG, je
          
        
        
          
            dois aider et motiver les équipes,
          
        
        
          
            signer les papiers officiels, passer
          
        
        
          
            les coups de fil… »
          
        
        
          , explique Julia.
        
        
          La jeune fille assure rester
        
        
          
            « sur
          
        
        
          
            un pied d’égalité »
          
        
        
          avec ses cama-
        
        
          rades.
        
        
          
            « Par contre, je dois savoir ce
          
        
        
          
            que tout le monde fait. Ce poste m’a
          
        
        
          
            aidé à gagner en maturité et à être
          
        
        
          
            plus à l’aise à l’oral. »
          
        
        
          Pour Anouk,
        
        
          assistante marketing, l’expérience
        
        
          
            Légende à venirCium qua-
          
        
        
          
            tint, omnimus, nobisGiam
          
        
        
          
            atur? Bus, consequ iberum
          
        
        
          
            lamus, se od
          
        
        
          est tout aussi satisfaisante :
        
        
          
            « c’est
          
        
        
          
            une bonne idée d’essayer de mieux
          
        
        
          
            connaître le monde de l’entreprise.
          
        
        
          
            Créer un projet de toutes pièces en
          
        
        
          
            équipe m’a beaucoup intéressé. »
          
        
        
          Avec ses différents métiers, la
        
        
          mini-entreprise aiguille les élèves
        
        
          dans leur orientation. Julia tra-
        
        
          vaille son expression orale dans
        
        
          le but de devenir avocate. À Nan-
        
        
          terre, le projet EasyFresh constitue
        
        
          le premier pas de la 3
        
        
          e
        
        
          prépa pro
        
        
          vers le lycée professionnel. Jarod,
        
        
          le P-DG, se destine à un CAP
        
        
          horlogerie. Un métier minutieux,
        
        
          tout comme le travail des bougies.
        
        
          Alors qu’au collège Victor-Hugo,
        
        
          la principale préoccupation porte
        
        
          sur la prochaine vente, à Lakanal,
        
        
          la séance se termine par l’annonce
        
        
          des cinq élèves retenus pour par-
        
        
          ticiper au championnat régional
        
        
          des mini-entreprises. L’an passé,
        
        
          le collège de Colombes l’avait
        
        
          emporté avec le projet Écocase,
        
        
          pochette multifonction en maté-
        
        
          riau recyclé. Les apprentis entre-
        
        
          preneurs espèrent faire aussi bien
        
        
          le 22 mai à Évry avant pourquoi
        
        
          pas un sacre au concours national
        
        
          en juillet.
        
        
          n
        
        
          
            Florence Mazet
          
        
        
          
            Photos : Jean-Luc Dolmaire
          
        
        
          
            Les mini-entrepreneurs du collège Lakanal à Colombes préparent leur
          
        
        
          
            prochaine vente. Leur bouchon pour canettes est en passe de dépas-
          
        
        
          
            ser les 1 000 exemplaires vendus.